Irina Lankova, la personnelle
Irina Lankova a conçu son disque Elégie comme un « voyage émotionnel ». « Chacune des plages s’est alors imposée comme une évidence, en écho à un moment capital de ma vie », écrit-elle. Dévoilant la sensibilité qui l’habite, l’artiste produit un album élégant et personnel. Un album au programme presqu’universel, sans que l’adjectif universel ne dénonce un quelconque soupçon de dites et de redites.
Photographiée et filmée par le magicien Peter Lindbergh, l’artiste ensorcèle. Le portrait très réussi de ce grand monsieur lui servira sans aucun doute de porte-bonheur… Elégie est un grand disque que l’article partagera avec le public dès le 15 octobre 2021 à Gaveau. Le début d’une tournée mondiale, incluant le Carnegie Hall à New York, le Concertgebow d’Amsterdam et de nombreuses autres salles.
« Rachmaninov ne craint pas d’être impudique et s’exprime sans retenue, avec élégance, sobriété et dignité. Le fait d’en prendre conscience et de l’éprouver si profondément m’a façonnée. Rachmaninov exprime aussi comme nul autre la nostalgie de l’âme russe, dont Andrei Tarkovski dit dans son film Nostalgie qu’elle est une « maladie mortelle », inséparable de la souffrance extrême qui nous prive du lieu natal et de nos repères intimes… » (Irina Lankova, livret de Elégie).
Elégie : Rachmaninov – Schubert – Bach par Irina Lankova / Sortie le 15 octobre 2021 et concert à la Salle Gaveau (Paris).
Formée à l’école Gnessine, Artiste Steinway depuis 2008, Irina Lankova se produit aujourd’hui sur les scènes prestigieuses telles que Wigmore Hall, Carnegie Hall, Concertgebouw et dans de nombreux festivals.
Décrite par la presse internationale comme une pianiste au toucher véritablement poétique (The Independent), au jeu de couleurs infinies (La Libre Belgique) et à la narration personnelle (Pianiste), Irina Lankova crée son propre univers artistique et souhaite, avant tout, partager l’émotion.
